Des potentialités biologiques
« En Isère, les 5200 km de départementales et 15000 km de voies communales recèlent des potentialités biologiques qui ne demandent qu’à être sauvegardées et valorisées », explique Pierre Salen, permanent de l’association naturaliste. « Face à la pression de l’agriculture intensive et de l’urbanisation, les talus et bords de routes constituent un important refuge pour la flore et la petite faune. C’est souvent un milieu de transition entre la chaussée et le paysage environnant ».
« En Isère, les 5200 km de départementales et 15000 km de voies communales recèlent des potentialités biologiques qui ne demandent qu’à être sauvegardées et valorisées », explique Pierre Salen, permanent de l’association naturaliste. « Face à la pression de l’agriculture intensive et de l’urbanisation, les talus et bords de routes constituent un important refuge pour la flore et la petite faune. C’est souvent un milieu de transition entre la chaussée et le paysage environnant ».
Fauchage tardif
La solution proposée par Gentiana consiste à pratiquer un fauchage tardif, en juillet/août, qui permet aux plantes de terminer leur cycle de reproduction et ainsi de préparer la relève. “Parallèlement, des actions se portent aussi auprès des communes pour l’abandon des désherbants en bords de routes”.
Gentiana s’est également engagée depuis plusieurs années dans une action de connaissance et de protection de la flore sauvage des bords des routes de l’Isère. Pour ce faire, elle a lancé en 2002, l’opération « des fleurs aux bords de nos routes » inventaire de la flore et des milieux remarquables de ces milieux “presque sauvage”.
Espérons que cette initiative fera école et permettra de redécouvrir le long de nos départementales, des fleurs aux couleurs et senteurs perdues.
La solution proposée par Gentiana consiste à pratiquer un fauchage tardif, en juillet/août, qui permet aux plantes de terminer leur cycle de reproduction et ainsi de préparer la relève. “Parallèlement, des actions se portent aussi auprès des communes pour l’abandon des désherbants en bords de routes”.
Gentiana s’est également engagée depuis plusieurs années dans une action de connaissance et de protection de la flore sauvage des bords des routes de l’Isère. Pour ce faire, elle a lancé en 2002, l’opération « des fleurs aux bords de nos routes » inventaire de la flore et des milieux remarquables de ces milieux “presque sauvage”.
Espérons que cette initiative fera école et permettra de redécouvrir le long de nos départementales, des fleurs aux couleurs et senteurs perdues.
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